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Les pigeons de ville

Les mesures du PACTE

- Rassurer la population et affirmer continuellement que cet oiseau ne transmet aucune maladie aux humains, qu’il est un être sensible et respectable. Les plaintes en mairie diminueront très fortement.

- Stopper les euthanasies ainsi que les interdictions de nourrissage. D'autre part, les oiseaux sauvages sont en train de disparaître. Les seules espèces qui résistent sont les généralistes (inféodées à plusieurs écosystèmes) et survivent grâce au complément indispensable de nourriture que leur donne la population. Donner à manger aux oiseaux n'étant plus puni, les nourrisseurs réguliers distribueront la nourriture de façon plus dispersée dans le temps et l'espace, engendrant logiquement moins de concentrations de pigeons.

- Les élus et le personnel des communes doivent changer de paradigme. Il faut faire rentrer l’éthique et l'écologie dans les têtes et transférer la gestion des pigeons du service Hygiène au service Environnement.

Créer une section « Animal sauvage en ville » avec une partie "Oiseaux" qui s'occupera des pigeons mais aussi des autres espèces d'oiseaux posant des problèmes de cohabitation. Pour les pigeons, au moins une personne localisera régulièrement dans la commune la formation de nichoirs collectifs naturels : à l'intersection des tabliers des ponts (routiers, chemins de fer, fluviaux) et des piles de soutien, églises, monuments historiques en ruine, bâtiments abandonnés ouverts, trous dans les greniers, etc... On prendra ensuite les dispositions pour protéger les ouvrages dans le but d'éviter la formation d'une colonie importante, sans attendre que la situation s’aggrave. A titre d’exemple en cas de travaux sur une église, on réalisera un aménagement permettant à l'effraie des clochers (en voie de disparition) de s'y reproduire. Aussi on pourra créer des nichoirs pour les hirondelles de fenêtre (quasiment disparues).

- Stérilisation par voie orale (graines contraceptives).

- Installation de nichoirs collectifs artificiels où l'on remplacera les œufs pondus par des œufs factices, l'accroissement des populations sera alors fortement réduit. En fonction des moyens de la collectivité, on pourra utiliser les bâtiments abandonnés (par exemple un ancien transformateur EDF), créer des petits pigeonniers de toit et/ou des nichoirs fixés en hauteur. Suivant leur budget, les collectivités pourront faire réaliser les travaux par leur propre service technique ou acheter les modèles vendus par des entreprises spécialisées. Nous inciterons les collectivités à gérer ces dispositifs par leurs propres moyens (personnel de la mairie) pour réduire les coûts.


Les différentes parties

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